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"Quand il y a un enfant en danger, il faut prendre toutes les mesures."

-Maître Llorente, avocat d'Éric P.

La justice s'est injustement acharnée pendant un an sur un enseignant injustement accusé du viol d’une élève de Genlis (21) malgré les preuves irréfutables de son innocence :

- Deux sur le même poste, il a été accompagné en permanence d’une collègue le jour des faits supposés.

- Le sperme d'un membre de la famille ayant été retrouvé sur la culotte devrait légitimement induire une nouvelle instruction et permettre le rejet du chef d'accusation.

Comment ne pas émettre des doutes sur le bienfondé de confier l'enquête aux gendarmes de la brigade de proximité alors que la plaignante est une des gendarmes de ce même secteur ?

Pendant que la petite est toujours en danger, le véritable agresseur n'est pas inquiété par la justice.

Nous demandons donc que la justice élargisse ses investigations au vu des éléments recueillis par l'enquête.

Bien que la Cour d’Appel de Dijon ait levée la mise en examen d'Eric, reconnaissant par là son innocence, il a besoin de votre soutien pour que toute la vérité éclate enfin et pour obtenir un non-lieu définitif.

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Le résumé des faits

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Message d'Éric à l'ensemble de ses soutiens

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Interview d'Éric et son épouse au JT de M6

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ENTRETIEN. " Du soulagement, mais quelle déception " accusé à tort du viol d’un enfant, l’enseignant Eric Peclet réagit

Diffusé le 05/03/2021 Source :  France 3 Bourgogne Franche-Comté d Le 25 février 2021, après plus de quatre ans d'enquêtes, la juge d'instruction en charge du dossier déclenche la procédure de fin d'instruction du dossier. Pour l'instituteur, un temps accusé par l'enfant et aujourd'hui témoin assisté, subsiste la crainte que l'affaire ne jamais élucidée. Entre novembre 2016 et mars 2017, l'enseignant a été placé en détention provisoire, à la maison d'arrêt de Dijon. • © Rodolphe Augier / France Télévisions Le reportage de Gabriel Talon et Rodolphe Augier : Tout commence le 16 novembre 2016, quand une fillette de quatre ans indique à ses parents avoir été violée par son instituteur remplaçant. Après quatre mois de détention provisoire, l'instituteur est finalement libéré et obtient le statut de témoin assisté. Les traces de sperme retrouvées dans la culotte de la jeune fille dirigent ensuite vers les enquêteurs vers le père de la victime. À l

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