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"Quand il y a un enfant en danger, il faut prendre toutes les mesures."

-Maître Llorente, avocat d'Éric P.

La justice s'est injustement acharnée pendant un an sur un enseignant injustement accusé du viol d’une élève de Genlis (21) malgré les preuves irréfutables de son innocence :

- Deux sur le même poste, il a été accompagné en permanence d’une collègue le jour des faits supposés.

- Le sperme d'un membre de la famille ayant été retrouvé sur la culotte devrait légitimement induire une nouvelle instruction et permettre le rejet du chef d'accusation.

Comment ne pas émettre des doutes sur le bienfondé de confier l'enquête aux gendarmes de la brigade de proximité alors que la plaignante est une des gendarmes de ce même secteur ?

Pendant que la petite est toujours en danger, le véritable agresseur n'est pas inquiété par la justice.

Nous demandons donc que la justice élargisse ses investigations au vu des éléments recueillis par l'enquête.

Bien que la Cour d’Appel de Dijon ait levée la mise en examen d'Eric, reconnaissant par là son innocence, il a besoin de votre soutien pour que toute la vérité éclate enfin et pour obtenir un non-lieu définitif.

Retrouvez le comité sur les réseaux sociaux :

Viol d'une fillette à Genlis en 2016 : le collectif "Droits des femmes 21" redoute un non-lieu

Diffusé le 24/03/2021 Source :  France Bleu Bourgogne Franche Comté Alors que l'instruction semble close dans l'enquête sur le viol d'une fillette à Genlis en novembre 2016, et qu'aucun coupable ne semble avoir été trouvé, le collectif "Droits des femmes 21" écrit au Procureur et au Sécrétaire d'Etat en charge de l'enfance et des familles. Il redoute un non-lieu. L'école de Genlis où la fillette aurait été agressée sexuellement. © Radio France - Victoria Koussa Le courrier a été adressé ce mardi 23 mars au Procureur de la République de Dijon, Eric Mathais, ainsi qu'au Secrétaire d’Etat en charge de l’enfance et des familles, Adrien Taquet. Il est signé par les coordinatrice du collectif, Anne-Lise David, Françoise Heurtaux et Marie Vindy. Pas de suspect malgré des traces ADN retrouvées Dans cette lettre, ses auteures interpellent le patron de la justice à Dijon et le représentant du gouvernement après avoir appris la fin de l'instruction d
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Accusé à tort de viol sur une fillette, un instituteur raconte son cauchemar

Diffusé le 09/03/2021 Source :  Europe 1 Eric Peclet, un instituteur accusé à tort du viol d’une fillette de 4 ans à Genlis en novembre 2016, devrait enfin être mis complètement hors de cause par la justice grâce à l'ADN. Cette dernière s'orientant vers un non-lieu faute d'avoir été en mesure de trouver le coupable. Un soulagement mais aussi un nouveau coup dur que l'instituteur raconte au micro d'Europe 1. TÉMOIGNAGE Un instituteur accusé à tort du viol d’une fillette de 4 ans à Genlis en novembre 2016 devrait enfin être mis complètement hors de cause par la justice. Après plus de quatre ans d’enquête, la juge d’instruction chargée de l’information judiciaire a estimé que les investigations devaient se terminer. S'il est certain que la fillette a été violée, son agresseur n'a toujours pas été identifié. La justice se dirige donc vers un non-lieu, qui est à la fois un soulagement et un nouveau coup dur pour Eric Peclet, l'instituteur un temps mis en ca

ENTRETIEN. " Du soulagement, mais quelle déception " accusé à tort du viol d’un enfant, l’enseignant Eric Peclet réagit

Diffusé le 05/03/2021 Source :  France 3 Bourgogne Franche-Comté d Le 25 février 2021, après plus de quatre ans d'enquêtes, la juge d'instruction en charge du dossier déclenche la procédure de fin d'instruction du dossier. Pour l'instituteur, un temps accusé par l'enfant et aujourd'hui témoin assisté, subsiste la crainte que l'affaire ne jamais élucidée. Entre novembre 2016 et mars 2017, l'enseignant a été placé en détention provisoire, à la maison d'arrêt de Dijon. • © Rodolphe Augier / France Télévisions Le reportage de Gabriel Talon et Rodolphe Augier : Tout commence le 16 novembre 2016, quand une fillette de quatre ans indique à ses parents avoir été violée par son instituteur remplaçant. Après quatre mois de détention provisoire, l'instituteur est finalement libéré et obtient le statut de témoin assisté. Les traces de sperme retrouvées dans la culotte de la jeune fille dirigent ensuite vers les enquêteurs vers le père de la victime. À l

Message d'Éric à l'ensemble de ses soutiens

Chers soutiens, Je profite de cette nouvelle année qui commence pour vous souhaiter une très bonne année 2020 et pour vous donner quelques nouvelles. Cela fait en effet un certain temps que je ne vous ai pas tenu informé et il n’y a, hélas, pas grand-chose à dire. Officiellement, les investigations continuent. Concrètement, il n’y aura jamais d’éléments plus fort que ceux qui existent déjà dans le dossier et qui avaient conduit à des gardes à vue en décembre 2018. Comme vous le savez sans doute, ces gardes à vue n’ont abouti à aucune mise en examen et il ne fait désormais plus aucun doute que le juge d’instruction ne bougera pas dans ce dossier. Tout courrier au ministère ou au défenseur des droits aboutissent à la même réponse : dans une instruction en cours, personne ne peut interférer. Un juge peut donc faire absolument tout ce qu’il veut : envoyer en prison une personne sans aucun élément tout autant que laisser un violeur identifié par son sperme auprès de sa victime. Non. Per

Affaire Peclet : une alerte pour protéger la fillette

Publié le 28/09/2019 Source : Le Bien Public « Cela fait plus de deux ans que j’aurais dû bénéficier d’un non-lieu » Deux rapports d’experts communiqués par le juge d’instruction un an après qu’ils ont été rendus, un avis de la chambre de l’instruction recommandant une morpho-analyse (1 ) des taches non suivi, un collectif qui interpelle les pouvoirs publics… Dans l’affaire du viol d’une fillette à Genlis, rien n’est simple et ne semble bouger depuis plusieurs mois. Le cas du viol d’une fillette à Genlis est toujours nommé, de manière informelle, “l’affaire Peclet”, du nom de l’instituteur désigné dans un premier temps comme l’agresseur présumé par l’enfant de 4 ans au moment des faits. Malgré un test ADN pointant du doigt la lignée paternelle de la victime, malgré la levée de sa mise en examen, l’instruction semble interminable pour celui qui crie son innocence. Pour le moment, il reste sous le statut ambigu de témoin assist

Viol de Genlis, un collectif lance l'alerte

Diffusé le 28/05/2019 Source : France 3 Bourgogne Franche-Comté Le collectif Droits des femmes 21 monte au créneau contre l’immobilisme de la justice dans le viol d’une fillette commis en 2016. Plusieurs expertises désignent un proche de l’enfant. Mais, la fillette et sa sœur ne font toujours l’objet d’aucune protection. Quel est le viol dénoncé par le collectif Droits des femmes 21 ? Les faits remontent au mois de novembre 2016. Une fillette âgée de 4 ans raconte à sa famille qu’elle a été victime d'attouchements de la part de l'instituteur remplaçant qui intervient dans sa classe. L’enseignant est mis en examen pour viol et agressions sexuelles sur mineure. Il est emprisonné pendant quatre mois, avant d’être remis en liberté. En novembre 2017, ce professeur des écoles voit sa mise en examen levée, car il n’existe aucune charge grave et concordante contre lui. Parallèlement, plusieurs expertises scientifiques confirment le viol de l’enfant et révèlent la prése