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Articles

Affichage des articles du septembre, 2018
"Quand il y a un enfant en danger, il faut prendre toutes les mesures."

-Maître Llorente, avocat d'Éric P.

La justice s'est injustement acharnée pendant un an sur un enseignant injustement accusé du viol d’une élève de Genlis (21) malgré les preuves irréfutables de son innocence :

- Deux sur le même poste, il a été accompagné en permanence d’une collègue le jour des faits supposés.

- Le sperme d'un membre de la famille ayant été retrouvé sur la culotte devrait légitimement induire une nouvelle instruction et permettre le rejet du chef d'accusation.

Comment ne pas émettre des doutes sur le bienfondé de confier l'enquête aux gendarmes de la brigade de proximité alors que la plaignante est une des gendarmes de ce même secteur ?

Pendant que la petite est toujours en danger, le véritable agresseur n'est pas inquiété par la justice.

Nous demandons donc que la justice élargisse ses investigations au vu des éléments recueillis par l'enquête.

Bien que la Cour d’Appel de Dijon ait levée la mise en examen d'Eric, reconnaissant par là son innocence, il a besoin de votre soutien pour que toute la vérité éclate enfin et pour obtenir un non-lieu définitif.

Retrouvez le comité sur les réseaux sociaux :

En prison pour rien

Diffusé le 11/09/2018 Source : France 5 En France, sur une population carcérale d’environ 70 000 détenus, près de 30% sont des « prévenus », autrement dit des personnes en détention provisoire. Soupçonnés d’avoir commis un crime ou un délit, elles sont incarcérées pendant l’instruction de l’affaire. Chaque année, des citoyens innocents sont incarcérés à tort pendant des jours, des semaines voire des mois, avant d’être libérés sans même être jugés car la justice, entre-temps, s’est rendue compte de son erreur. Ainsi, en 2015, 576 personnes ont bénéficié d’un non-lieu après avoir été incarcérées. D’autres innocents restent détenus jusqu’à leur procès... où la justice les libère après les avoir acquittés. De nombreux anonymes, dont le calvaire n’est pas médiatisé, connaissent l’injustice de la justice. Ces innocents sont jetés en prison pour des délits qui vont de la simple escroquerie au crime de sang, en passant par le braquage ou l’agression sexuelle. Durée moyenne de

Encore un exemple d'une Justice négligente avec les enfants victimes d'agression sexuelle

Publié le 17/09/2018 Source: Le Bien Public Fillette violée sous son toit : l'Etat condamné pour déni de justice Karine J. était régulièrement livrée à un "ami" pédophile par ses parents. Elle accuse l'Etat de ne pas l'avoir assez protégé, malgré plusieurs signalements. L'Etat a été condamné pour déni de justice ce lundi dans l'affaire de maltraitance de Karine J. qui a porté plainte pour faute lourde. Enfant, la jeune femme de désormais 21 ans a vécu un enfer. Le tribunal de grande instance de Paris a jugé que l’action la jeune femme pour faute lourde était prescrite, mais a condamné l’agent judiciaire de l’Etat à lui verser 12 000 euros en réparation du préjudice subi au titre du déni de justice, et 3 000 euros pour les frais de justice. Cette dernière était régulièrement livrée à un "ami" pédophile de ses parents qui la violait sous le toit familial, raconte Le Parisien. Tant que j’étais chez mes parents, la seule chose dont

"En prison pour rien" : extrait du reportage de F.Kieffer diffusé le 11 septembre à 20h50 sur France 5

    MARDI 11/09 : 20h55 EN PRISON POUR RIEN Éric Péclet a passé 126 jours en prison... pour rien ! Alors qu'il effectue un remplacement dans une école maternelle, cet instituteur est accusé, à la suite du témoignage de la victime, de viol sur une fillette de 4 ans. Seul homme présent dans l'établissement, il est immédiatement placé en détention provisoire. Il décrit face caméra l'enfer de l'univers carcéral : l'enfermement, la violence des autres détenus, mais aussi la difficulté de raccrocher les wagons à la sortie. Le Monde en face offre ce soir une série de bouleversants portraits d'hommes qui se sont retrouvés, à tort, derrière les barreaux. Malgré la médiatisation des affaires d'Outreau et Dils, la reconnaissance des erreurs judiciaires reste un grand tabou chez les magistrats. Cette superbe émission permet de remettre en perspective la réalité matérielle et psychologique de l'incarcération. Un éclairage nécessaire. MARDI 11/09 : 22h00 L