"Quand il y a un enfant en danger, il faut prendre toutes les mesures."
-Maître Llorente, avocat d'Éric P.
La justice s'est injustement acharnée pendant un an sur un enseignant injustement accusé du viol d’une élève de Genlis (21) malgré les preuves irréfutables de son innocence :
- Deux sur le même poste, il a été accompagné en permanence d’une collègue le jour des faits supposés.
- Le sperme d'un membre de la famille ayant été retrouvé sur la culotte devrait légitimement induire une nouvelle instruction et permettre le rejet du chef d'accusation.
Comment ne pas émettre des doutes sur le bienfondé de confier l'enquête aux gendarmes de la brigade de proximité alors que la plaignante est une des gendarmes de ce même secteur ?
Pendant que la petite est toujours en danger, le véritable agresseur n'est pas inquiété par la justice.
Nous demandons donc que la justice élargisse ses investigations au vu des éléments recueillis par l'enquête.
Bien que la Cour d’Appel de Dijon ait levée la mise en examen d'Eric, reconnaissant par là son innocence, il a besoin de votre soutien pour que toute la vérité éclate enfin et pour obtenir un non-lieu définitif.
"Il est urgent de protéger la fillette en dénonçant le vrai coupable confondu par les résultats d'analyses, comme les médias l'ont clairement exposé ces jours derniers.
RépondreSupprimerN'est-ce pas le devoir du directeur de l'école de déclencher la nouvelle démarche auprès des autorités compétentes ?
La suite logique sera d'innocenter immédiatement l'instituteur. Il faut enfin aboutir au dénouement de cette triste affaire pour aider Éric et sa famille à se reconstruire."
De tout cœur avec Eric, c'est un homme au dessus de tous soupçons.
RépondreSupprimerJe ne doute pas un instant de l innocence d'Eric il vous faut quoi messieurs les juges pour faire une enquête sur le milieu familial ?
RépondreSupprimerEn te souhaitant courage, patience et une victoire complète et prochaine Éric ! Fraternellement
RépondreSupprimerDe tout cœur avec Éric et sa famille !
RépondreSupprimerla vérité finit toujours par éclater donc COURAGE...
RépondreSupprimerCette affaire pose beaucoup de questions. Où est l'impartialité de l'enquête? Pourquoi compter sur les médias pour faire avancer les choses, que fait la justice? Je commence à douter de la naiveté de la mère, serait elle complice?
RépondreSupprimerQue la justice éclaire cette affaire car c'est une petite fille qui et dans la nécessité d'être protégée. Je fais appel au devoir des associations de protection infantile pour protéger cet enfant du prédateur sexuel qui est clairement identifiable'...
Eric, tu es INNOCENT. On le sait depuis le début, j'en ai jamais douté!
Courage à Eric, ses enfants, sa femme, sa mère, ses frères et soeurs...
"Je pense bien à vous dans cette épreuve difficile. J’espère que la justice fera son travail pour le bien des victimes de cette sordide histoire. "
RépondreSupprimer""May the force be with you"""
Bon courage à Eric et à ceux qui l'entourent.
RépondreSupprimerInadmissible de laisser des innocents trinquer à la place des criminels.
RépondreSupprimer"Je vous souhaite beaucoup de courage ainsi qu'à votre famille, ne vous connaissant pas personnellement, mais connaissant bien votre maman dont la moralité est exemplaire. Que de souffrances vous devez tous avoir !
RépondreSupprimerJe suis absolument stupéfaite et indignée de constater que cette enquête aie été confiée aux collègues de la maman de la fillette.
J'espère de tout cœur que vous pourrez retrouver votre honneur et un semblant de vie tranquille après cette sombre affaire qui peut détruire un homme et une famille, le milieu carcéral étant sans pitié avec les personnes accusées de viol sur des enfants.
Tous mes souhaits pour que la justice continue cette enquête car cette petite fille est à ce jour en danger, son véritable prédateur n'ayant pas encore été retrouvé !!!!"
Bonjour,
RépondreSupprimerUne fois de plus la dictature de l'émotion a frappé fort à travers la parole d'un enfant. Sans la moindre précaution de prudence, les loups se sont abattus sur la proie et les crieurs de rue ont hurlé à la mort.
Combien d'innocents se retrouvent ainsi embastillés, assassinés socialement ? Et combien de temps faudra-t-il à cette prétendue justice, si pressée de désigner un coupable sans la moindre preuve matérielle, pour reconnaître son erreur et s'en prendre au vrai coupable ?
Avec toute ma solidarité pour cette épreuve si difficile à surmonter.
De tout cœur avec Eric, c'est un homme au dessus de tous soupçons
RépondreSupprimerC'est une épreuve très difficile. Il faut que vous teniez le coup. J'espère que le plus dur est derrière vous.
RépondreSupprimerBonjour Éric,
RépondreSupprimerJe t'écris pour t'apporter mon soutien total à toi et ainsi qu'à ta famille.
Ce que tu vis depuis des mois est injuste. Où est la présomption d'innocence dans cette affaire sachant qu'aucun élément matériel n'existe contre toi ?
Et que fait la justice à laisser, sans aucune recherche en ce sens, la petite en présence quotidienne de celui dont on a retrouvé le sperme dans la culotte qu'elle portait le jour de son viol ? Ne pourrait-on pas élargir l'enquête à cet élément troublant ?
Comment s'assurer alors qu'elle n'est pas en danger, tout comme le reste de sa fratrie ?
Tu es un enseignant exemplaire, dont les qualités ont été reconnues partout où tu es passé. Je ne doute pas un seul instant de ton innocence, parce que je sais que tu es un éducateur qui vit pleinement les valeurs que tu enseignes en classe.
De plus, il n'y a rien qui peut justifier le moindre sentiment de culpabilité à ton égard. On peut faire dire ce que l'on veut à un enfant de 4 ans. La littérature scientifique regorge de témoignages en ce sens...
Que la vérité éclate au grand jour, cela a assez duré !
Je renouvelle encore une fois mon soutien. Courage et espoir mon ami !
Comment se fait-il que l'enquête ne se trouve pas aujourd'hui entre les mains d'une instance judiciaire objective qui puisse confondre le coupable? Je ne pensais pas avoir un jour un doute concernant la justice de mon pays car au regard des informations qui circulent, seule une volonté de nier des faits empêche la vérité d'éclater.
RépondreSupprimerTous nos encouragements à toi et à ta famille en attendant que la vérité soit faite et t'innocente
RépondreSupprimerCourage Eric! Tiens bon! Le dénouement est proche: à toi l'innocence reconnue et la fin du calvaire pour tes proches et toi! Les enfants te soutiennent également!
RépondreSupprimerÀ très vite!!!
Paca
Courage Eric! Enseignante et mère de famille, je pense aussi à vos enfants et votre femme pour qui la vie doit être un enfer depuis cette incrimination!
RépondreSupprimerEn espérant que toute la lumière soit faite sur cette douloureuse affaire ! Avec mon soutien moral.
RépondreSupprimerTout mon soutien...et beaucoup de courage...
RépondreSupprimerInstitutrice en classe maternelle durant 40 ans et maintenant retraitée mais continuant à m'occuper de la scolarité de plusieurs enfants, je suis extrêmement choquée par la mise en cause de ce collègue et j'espère que justice lui sera rendue.
RépondreSupprimerJe viens de prendre connaissance de cette tragique affaire. Cela pourrait arriver à n'importe lequel des enseignants. C'est ahurissant et dramatique. Tout mon soutien à Eric et sa famille.
RépondreSupprimerIl faut combattre à tout prix cette terrible injustice qui a détruit la vie d'Éric. C'est trop facile d'accuser à tort! J'APPORTE TOUT MON SOUTIEN À ERIC.
RépondreSupprimer"Cette affaire me rappelle un vieux film avec Jacques Brel dans le rôle de l'instituteur «Les risques du métier».
RépondreSupprimerMais l'élève en cause avait 11 ou 12 ans et non pas 4 ....! Quel crédit peut-on apporter à une enfant de 4 ans ? Bizarre...."
Connaissant Eric, je lui accorde toute ma confiance et mon soutien
RépondreSupprimerla VERITE sur votre innocence éclatera tenez bon
RépondreSupprimerBon courage Eric, je pense bien à vous dans cette épreuve. Je suis moi-même enseignante depuis 23 ans et je vis depuis 2 ans une situation difficile qui a commencé à la rentrée 2015 dans la même ville que vous. j'ai été victime de propos diffamatoires de la part d'un membre de l'éducation nationale non enseignant, et malgré les nombreux soutiens des parents d'élèves, j'ai été sanctionnée et déplacé d'office. J'ai repris le travail en septembre 2016 dans une nouvelle école et suite à des rumeurs qui sont arrivées dés juin, donc avant de me connaître, un petit groupe de parents m'ont harcelée. Faisant pression sur l'administration, ils ont eu gain de cause et j'ai été de nouveau sanctionnée (2 mois sans salaire), je suis en congé longue durée, écoeurée et anéantie et incapable de reprendre pour le moment le travail.
RépondreSupprimerJe suis de tout cœur avec vous, et suis scandalisée de l'acharnement que vous subissez, j'aimerai que ce qui arrive à Eric qui est médiatisé puisse changez les choses effrayant cette épée de Damoclès qui se trouve au-dessus de chaque enseignant et éducateur. Il y a quelque chose de vraiment "pourri" dans la justice, et l'éducation nationale. Oui il faut protégez les enfants ! Mais il ne faut pas sacrifier 9 enseignants innocents sur 10 et dire comme l'a fait Royal, que le contrat est rempli ! Ce n'est pas une France des droits de l'homme, je ne reconnais pas cette France là. Avec toute mon amitié, si vous avez besoin de parlez, je suis prête à vous écouter, Bon courage !
Supprimerla verite eclatera au grand jour
RépondreSupprimerLors de l'affaire Callas,Voltaire avait inventé l'expression"l'opinion publique".Et c'est grace à cette opinion qu'il avait réussi à faire aboutir la réhabilitation du malheureux père.
RépondreSupprimerJe suis sur que pour toi,la meme force contribuera à faire basculer la justice dans le sens de la vérité.
Continue de crier,par tous les moyens,ton innocence!
Et quand tu seras enfin sorti du tunnel,écris un livre,en te faisant aider par un pro.Il aura du succès à coup sur!
Un collègue retraité
quel drole de monde courage monsieur
RépondreSupprimerQuelle histoire terrible, j’espère que vous pourrez très vite être innocenté au grand jour. J’ai toujours cru en votre innocence. Vous restez le prof préféré de piano de mes filles. J’attends avec impatience (moins que vous bien sur!) le jour où le grand titre du journal sera « L’instituteur de Genlis définitivement innocenté, le vrai coupable sous les verrous »...
RépondreSupprimerQuelle injustice ! Cette épreuve est inhumaine et dure depuis bien trop longtemps, je souhaite que la vérité éclate au plus vite pour que tu retrouves (autant ce c'est possible) une vie normale et que le vrai vrai coupable soit puni ! Je rentre très émue de la réunion du comité de soutien. Eric tu es très bien entouré, les témoignages de ce soir étaient plein d'amour . Quelle force et quel courage ! Tenez bon ... Je suis avec vous
RépondreSupprimerCourage Monsieur, nous sommes de tout cœur avec vous. Recevez tout notre soutien ainsi qu'à ceux qui vous sont chers.
RépondreSupprimerComme d'habitude, humble et digne. Bravo pour ton courage et celui de ta famille! Tout mon soutien, de tout cœur avec toi Eric.
RépondreSupprimerje suis de tout coeur avec toi face à ces terribles épreuves et ces injustices que tu subis depuis des mois... courage... il en faut encore un peu....
RépondreSupprimerque vous dire courage bien sur, la vraie Justice n'est pas loin
RépondreSupprimerj'ai vu le sujet sur france3. On dirait que ça bouge! C'est bien d'être à visage découvert. On sera là demain. Courage!
RépondreSupprimerNous espérons que vous reverrez la lumière au bout de ce long tunnel
RépondreSupprimerJe suis moi- même l'objet d'une plainte de ce genre et sais bien ce que l'on ressens en pareil cas, quand on n'a rien à se reprocher! cette plainte contre moi a été déposée dans le cadre d'un conflit familial et au moment de l'affaire du directeur d'école de Villefontaine, dans le département où j'habite; vous êtes enseignant : c'est pour cela que l'enquête a été diligentée à charge! je ne le suis pas : une "chance" ? je ne sais pas, mais ce que je sais, c'est que ça pourrit bien la vie, une telle accusation ; et mes 12 heures de garde à vue resteront gravées dans ma mémoire; alors que dire de vos tourments? Courage, Eric ! et plus tard, renvoyez l'ascenseur...!
RépondreSupprimerNe perdez pas espoir, gardez confiance. La vérité finira par éclater.
RépondreSupprimerJ'ai également été accusée injustement et j'avais également l'impression que chaque fois qu'une porte s'entrouvait, elle se refermait. Les preuves que j'apportais étaient rejetées systématiquement, de nouvelles accusations étaient substituées aux précédentes. Et les accusations portées contre moi, totalement inventées, émanaient d'une personne assermentée, chargée de faire appliquer la loi.
Je ne dois la vie qu'à mon entourage qui m'a soutenu mais j'ai envisagé le sucide. Je ne voyais pas de solution et pensais que tout était perdu mais une décision a été prise par une instance que mon accusatrice ne pouvait pas influencer. Alors qu'elle avait été jusqu'à présent soutenue malgré tous ses mensonges, elle a été totalement désavouée, à un moment où je n'y croyais plus.
J'ai beaucoup souffert car mon accusatrice inversait la situation et se faisait passer aux yeux des tiers pour une victime, je me suis retrouvée isolée et rejetée mais, même si je n'oublierai jamais ce qu'elle a fait et les mois de ma vie qu'elle a gâché, ni les relations qu'elle a détruit, la vérité a fini par éclater.
Je suis certaine qu'elle éclatera pour vous. L'important est que vous gardiez espoir. Vous n'êtes pas seul dans votre combat. Vous verrez la fin du tunnel, même si vous avez du mal à y croire à l'heure actuelle. Et vous serez fier d'avoir résisté.
Alors, battez vous jusqu'au bout.
Nous esperons que 'votre combat' va porter ses fruits que le 15 novembre sera pour vous et votre famille le jour de la libération comme le dit la personne précédente, vous serez fier de votre ténacité et votre dignité face à ces calomnies. VINCIT OMNIA VERITAS
RépondreSupprimerJe viens d'entendre la bonne nouvelle que j'ai attendue depuis ce matin très stressée. Je suis heureuse et soulagée pour vous ERIC et votre famille. Je souhaite que le vrai coupable "ce monstre" sera rapidement mis en prison afin qu'il soit puni pour l'acte horrible qu'il a commis sur cette pauvre fillette et pour tout le mal qu'il vous a fait subir à vous et à votre famille. J'espère que la justice reconnaîtra ses erreurs, s'excusera devant les médias (même si j'ai un doute qu'elle le fasse) et que vous reverrez des dommages et intérêts ainsi que le remboursement des quatre mois de salaires que l'éducation nationale ne vous a pas versés. Je vous souhaite maintenant de profiter de votre famille de façon plus sereine et d'essayer de vous reconstruire, je sais cela ne va pas être facile j'en parle en connaissance de causes. Bonne courage pour la suite.
RépondreSupprimerEnfin la bonne nouvelle est tombée, vite que le vrai coupable soit mis en examen, que vous et votre famille puissiez enfin tourner le dos à cette triste histoire et reconstruire ce que l'on vous a détruit.
RépondreSupprimerToutes mes pensées vous accompagnent vous et votre famille pour la suite et la fin de cette histoire.
Amicalement, Françoise
La lumiere a fait fuir les ténèbres BRAVO
RépondreSupprimerYES!!! Enfin... C'est un grand pas vers la sortie de ce cauchemar. Reste à espérer que la justice s'occupe rapidement de trouver le coupable. Je pense bien à toi et à ta famille
RépondreSupprimerExtrait d'un récent article du Dauphiné Libéré:
RépondreSupprimerQuand la parole des enfants est systématiquement prise comme argent comptant et quand l'Education Nationale ne fait rien pour aider son agent !!
Benoit (*) est professeur d’éducation physique et sportive (EPS), depuis l’an dernier, au collège Louise de Savoie à Chambéry . Auparavant à Saint-Alban-Leysse, cet enseignant a été affecté au collège chambérien à la rentrée 2016 - 2017.
Le vendredi 18 novembre 2016 au matin, une classe de sixième est en cours d’EPS avec Benoit, qui est en outre leur professeur principal. Il donne un cours de badminton durant lequel il déplace trois élèves, pour cause de bavardages.
« À 14 heures, je suis appelé par le principal pour m’expliquer », raconte Benoit. « J’apprends alors qu’elles ont été reçues par le CPE (conseiller principal d’éducation), puis l’infirmière, puis le principal adjoint et le principal. » Les élèves l’accusent de les avoir agressées sexuellement . Les jeunes plaignantes âgées de 11 ans ont été reçues ensemble sans leurs parents et ont signé des témoignages explicites.
Signalement au procureur de la République
Le chef d’établissement prévient les parents durant le week-end. « Je ne travaille pas le lundi mais le mardi, mes cours sont annulés et j’apprends une semaine plus tard que j’ai fait l’objet d’un signalement au procureur de la République et qu’une enquête est en cours pour agressions sexuelles aggravées. » L’enseignant est dévasté mais il ne désarme pas : « Le mercredi, je suis convoqué à la médecine du travail. Il me déclare apte mais je dois donner mes cours en l’absence des trois élèves concernées. » Ce qui lui est refusé par sa hiérarchie « qui me conseille de me mettre en arrêt maladie », se souvient Benoit.
Le jeudi, il rencontre la directrice des ressources humaine et l’inspecteur du travail qui parlent de “surinterprétation des faits”. Pendant un mois, Benoit fera acte de présence au collège sans donner ses cours.
Le 4 janvier, après les vacances de Noël, une grève de soutien des enseignants prive les 600 élèves de cours durant toute la matinée. Par un froid glacial, certains se retrouvent dans la cour alors que leurs parents n’ont pas été informés de ce mouvement. « Pourtant, nous avions déposé un préavis de grève le 9 décembre », indique Catherine Bertin, déléguée syndicale (Snes) au collège Louise de Savoie. Un préavis qui a été confirmé deux jours avant la grève.
Classé sans suite pour “absence d’infraction”
« J’ai été entendu pendant cinq heures par la police. Les élèves ont également été auditionnées mais séparément et en présence de leurs parents », relève l’enseignant, qui pointe des dysfonctionnements au sein de son administration. Le 26 janvier 2017, l’affaire est classée sans suite pour “absence d’infraction”.
En mars, les trois élèves passent en conseil de discipline. Deux d’entre elles sont sanctionnées d’exclusion définitive avec sursis. « Mais les diffamations, les rumeurs ont continué. J’ai demandé à ma hiérarchie une lettre à l’attention des parents pour m’innocenter officiellement mais cela m’a été refusé. Aucune excuse ne m’a été accordée. »
Amer, cet homme marié et père de trois enfants a décidé de contre-attaquer. Le 23 mars, il a porté plainte contre les collégiennes et leurs représentants légaux. Le 10 octobre, il a déposé une nouvelle plainte contre les parents d’une des élèves qui, dit-il, continuent à le diffamer. Mais sa plainte en diffamation n‘a pas été retenue, les faits datant de plus de trois mois, donc prescrits. En parallèle, il a saisi le tribunal administratif en juillet contre sa hiérarchie.
(*) Son prénom a été changé pour préserver son anonymat.
Par Sylviane GARCIN | Publié le 13/11/2017 à 14:00
nous esperons que toute la lumiere sois faite et qu'elle éclaire toute cette infame histoire qui designera le les monstres car il n'y a pas d'autre mot quand on s'attaque a un enfant que vous votre famille sera proclamé innocent aux yeux de tous encore bcp de courage monsieur Eric
RépondreSupprimerEntre d'une part: un membre respectable du cercle familial qui a commis une agression sexuelle sur une fillette de 4 ans, une mère de cette même fillette dont le métier présente un conflit d'intérêt avec l'objectivité de l'enquête, une image sociale de "bons" parents à préserver à tout prix,
RépondreSupprimeret d'autre part un instit remplaçant -fût-il lui-même papa de 4 enfants- qui ne se rase peut-être pas tous les jours, il n'y avait malheureusement pas photo!
J'admire Eric votre courage devant la douleur. Je pense à votre épouse et surtout à vos enfants qui ont peut-être subi dans leur quotidien les mêmes épreuves que vous pendant votre incarcération.
Vous maîtrisez votre colère. Pas moi. J'ai honte pour ma police, j'ai honte pour ma justice, j'ai honte pour mon Education Nationale dont j'ai fait partie pendant 39 ans.
J'espère que vous trouverez encore la force non pas d'oublier, mais de refermer toutes ces blessures
nous vivons une bien triste époque tout marche a rebours nous sommes bien au kali yuga l'injustice est reine le juste est bafoué nous sommes de tout coeur avec vous monsieur!!!
RépondreSupprimerEric, on ne se connait pas mais j'ai entendu ton histoire sur France Inter. C'est vraiment terrible ce qui t'arrive. Je ne le souhaite vraiment à personne. Par contre, je te souhaite à toi et à ta famille de remonter rapidement la pente. Courage et vivement que tu sois innocenté et qu'on te laisse tranquille.
RépondreSupprimerJe suis bouleversée par ce témoignage. Triste et horrifiée pour cette petite Julie, triste et désemparée pour Eric sa femme et ses enfants, que je trouve exemplaires de courage et d'humanité.
RépondreSupprimerJ'ai aussi plusieurs questions : pourquoi Eric a t il été si vite en détention malgré ces énormes incohérences. Pourquoi les résultats d'analyses sont si longs ? Le coupable est il toujours en liberté ? Si oui pourquoi ? la maman gendarme a t elle les moyens de protéger ses proches et de faire accuser des innocents ?
Salut Eric. J'ai vu le reportage de M6. C'est très émouvant et ça n'a pas dû être facile pour vous de témoigner. Mais ça te permet de clamer ton innocence au grand jour et peut-être... de faire accélérer l'enquête!? Les collègues et moi nous pensons bien à toi
RépondreSupprimerquestion qu'attends la 'justice' pour finaliser cette monstruosite? hum hum............
RépondreSupprimerNaïvement, je pensais que justice avait été faite depuis tout ce temps. Et je découvre aujourd'hui qu'il n'en est rien. Courage à vous et votre famille.
RépondreSupprimerTerrible. A méditer avant de s'engager dans cette profession. Quant au soutien de l'administration, il ne faut pas se faire d'illusion ! C'est : courage, fuyons ! J'ai vécu ce genre d'affaire, en moins grave. La hiérarchie qui me soupçonnait et me laissait seul m'a dit une fois que je m'étais sorti d'affaire moi-même : vous avez de la chance que l'élève ait avoué avoir menti ! Edifiant !
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