"Quand il y a un enfant en danger, il faut prendre toutes les mesures."
-Maître Llorente, avocat d'Éric P.
La justice s'est injustement acharnée pendant un an sur un enseignant injustement accusé du viol d’une élève de Genlis (21) malgré les preuves irréfutables de son innocence :
- Deux sur le même poste, il a été accompagné en permanence d’une collègue le jour des faits supposés.
- Le sperme d'un membre de la famille ayant été retrouvé sur la culotte devrait légitimement induire une nouvelle instruction et permettre le rejet du chef d'accusation.
Comment ne pas émettre des doutes sur le bienfondé de confier l'enquête aux gendarmes de la brigade de proximité alors que la plaignante est une des gendarmes de ce même secteur ?
Pendant que la petite est toujours en danger, le véritable agresseur n'est pas inquiété par la justice.
Nous demandons donc que la justice élargisse ses investigations au vu des éléments recueillis par l'enquête.
Bien que la Cour d’Appel de Dijon ait levée la mise en examen d'Eric, reconnaissant par là son innocence, il a besoin de votre soutien pour que toute la vérité éclate enfin et pour obtenir un non-lieu définitif.
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L'affaire dans les médias
Page mise à jour le 28/01/2018
[Pour faire un zoom sur les articles de presse, cliquez dessus]
BFM TV, 12 janvier 2018, Accusé à tort de viol, un enseignant dénonce l'inertie de la justice: "Le prof, c'est le parfait bouc émissaire"
BFM TV, 11 janvier 2018, Des analyses mettent une nouvelle fois en cause un membre de la famille
Mis à jour le 08/07/2017 Plainte pour viol Le jeudi 17 novembre 2016, une plainte est déposée contre Éric P. pour viol dans le cadre de ses fonctions d’enseignant dans une école maternelle de Côte d’Or. La victime, la petite Julie*, vient d’avoir 4 ans la veille du dépôt de plainte. Elle présente des traces d’agression sexuelle, et désigne spontanément l’enseignant, selon sa mère. L’agression se serait déroulée le lundi 14 novembre, jour où le père découvre des traces de sang dans la culotte de sa fille lors de la douche du soir. Éric P. est interpellé et placé immédiatement en garde à vue le jeudi 17 novembre. Celle-ci sera prolongée. Éric P. nie en bloc les accusations. Il est placé en détention provisoire à la Maison d’Arrêt de Dijon le samedi 19 novembre. Il en ressortira plus de 4 mois plus tard, le vendredi 24 mars. Un viol à l’école maternelle : est-ce possible ? Impossible. Ce lundi 14 novembre, Éric P. n’est pas seul sur le poste de professeur au sein de la cl
Chers soutiens, Je profite de cette nouvelle année qui commence pour vous souhaiter une très bonne année 2020 et pour vous donner quelques nouvelles. Cela fait en effet un certain temps que je ne vous ai pas tenu informé et il n’y a, hélas, pas grand-chose à dire. Officiellement, les investigations continuent. Concrètement, il n’y aura jamais d’éléments plus fort que ceux qui existent déjà dans le dossier et qui avaient conduit à des gardes à vue en décembre 2018. Comme vous le savez sans doute, ces gardes à vue n’ont abouti à aucune mise en examen et il ne fait désormais plus aucun doute que le juge d’instruction ne bougera pas dans ce dossier. Tout courrier au ministère ou au défenseur des droits aboutissent à la même réponse : dans une instruction en cours, personne ne peut interférer. Un juge peut donc faire absolument tout ce qu’il veut : envoyer en prison une personne sans aucun élément tout autant que laisser un violeur identifié par son sperme auprès de sa victime. Non. Per
Le film et le livre de Marie-Monique Robin s'intéressent aux dérives de la lutte contre la pédophilie notamment dans leurs conséquences sur le respect de la présomption d'innocence. Après avoir toujours nié l’existence d’abuseurs sexuels dans ses rangs, l’Éducation nationale a opéré une volte-face au milieu des années 1990 : grâce aux militants de la protection de l’enfance, la pédophilie a enfin été dénoncée et poursuivie. Mais, sous l’effet de la pression médiatique, cette prise de conscience a conduit l’État à adopter un dispositif de contrôle inadapté, qui mine en profondeur l’ensemble du corps enseignant et qui, selon la journaliste, menacerait à terme l’équilibre même des enfants. En effet, depuis l’adoption en août 1997 de la circulaire Royal, qui impose le signalement au procureur du moindre« fait » suspect, les accusations de pédophilie en milieu scolaire se sont multipliées. D’authentiques coupables ont été démasqués, mais des centaines d’innocents ont égalemen