Source : France 3 Bourgogne Franche-Comté
Selon nos informations, un administrateur ad-hoc va être nommé dans l'affaire de viol d'une fillette à Genlis. La semaine dernière, l'avocate d'une des parties civiles dénonçait à notre micro l'immobilisme de la justice dans ce dossier.
Un administrateur ad-hoc va être nommé dans l'affaire de la fillette violée à Genlis en 2016, selon nos informations confirmées ce vendredi 16 mars par le procureur de la République de Dijon.
En 2016, une petite fille avait été violée à Genlis. Dans un premier temps, son instituteur avait été soupçonné, avant que sa mise en examen ne soit levée. En janvier 2018, l’avocat de l’instituteur révélait que l’ADN retrouvé sur la culotte de l’enfant appartenait à "un proche de la famille".
Pour le moment, la fillette et ses parents sont défendus par le même avocat. L'ordonnance du juge d'instruction, prise le 13 mars 2018, de nommer un administrateur doit permettre de désigner un avocat différent de celui des parents.
Six demandes faites en cinq mois
Par M. F. avec Gabriel Talon