Publié le 28/09/2019 Source : Le Bien Public « Cela fait plus de deux ans que j’aurais dû bénéficier d’un non-lieu » Deux rapports d’experts communiqués par le juge d’instruction un an après qu’ils ont été rendus, un avis de la chambre de l’instruction recommandant une morpho-analyse (1 ) des taches non suivi, un collectif qui interpelle les pouvoirs publics… Dans l’affaire du viol d’une fillette à Genlis, rien n’est simple et ne semble bouger depuis plusieurs mois. Le cas du viol d’une fillette à Genlis est toujours nommé, de manière informelle, “l’affaire Peclet”, du nom de l’instituteur désigné dans un premier temps comme l’agresseur présumé par l’enfant de 4 ans au moment des faits. Malgré un test ADN pointant du doigt la lignée paternelle de la victime, malgré la levée de sa mise en examen, l’instruction semble interminable pour celui qui crie son innocence. Pour le moment, il reste sous le statut ambigu de témoin assist