Accéder au contenu principal
"Quand il y a un enfant en danger, il faut prendre toutes les mesures."

-Maître Llorente, avocat d'Éric P.

La justice s'est injustement acharnée pendant un an sur un enseignant injustement accusé du viol d’une élève de Genlis (21) malgré les preuves irréfutables de son innocence :

- Deux sur le même poste, il a été accompagné en permanence d’une collègue le jour des faits supposés.

- Le sperme d'un membre de la famille ayant été retrouvé sur la culotte devrait légitimement induire une nouvelle instruction et permettre le rejet du chef d'accusation.

Comment ne pas émettre des doutes sur le bienfondé de confier l'enquête aux gendarmes de la brigade de proximité alors que la plaignante est une des gendarmes de ce même secteur ?

Pendant que la petite est toujours en danger, le véritable agresseur n'est pas inquiété par la justice.

Nous demandons donc que la justice élargisse ses investigations au vu des éléments recueillis par l'enquête.

Bien que la Cour d’Appel de Dijon ait levée la mise en examen d'Eric, reconnaissant par là son innocence, il a besoin de votre soutien pour que toute la vérité éclate enfin et pour obtenir un non-lieu définitif.

Retrouvez le comité sur les réseaux sociaux :

Signez la pétition lancée pour que la justice protège enfin la fillette de Genlis !



Une fillette de 4 ans a été violée.

Plusieurs mois plus tard, la justice continue d'accuser injustement un enseignant du viol de cette élève de Genlis. Pourtant, des preuves montrent que ce n'est pas lui qui l'a agressée... Pendant ce temps, la petite est toujours en danger ! 

Deux sur le même poste : l'enseignant été accompagné en permanence d'une collègue le jour des faits supposés... Pendant ce temps, la petite est toujours en danger ! 

C'est le sperme d'un membre de la famille de la petite qui a été retrouvé sur la culotte qu'elle portait... Pendant ce temps, la petite est toujours en danger ! 

La mère qui porte plainte étant gendarme, était-il éthique de confier l'enquête aux gendarmes, dont ceux de la brigade de proximité ? Pendant ce temps, la petite est toujours en danger ! 

Un innocent est aujourd'hui sous contrôle judiciaire strict à plus de 450 km de sa femme et de ses quatre enfants après avoir enduré plus de quatre mois de prison. Il continue de clamer son innocence. Ne laissons pas cette erreur judiciaire se poursuivre.

Qu'enfin la justice fasse son travail et oriente ses investigations en fonction des nouveaux éléments de l'enquête. Que cette fillette soit protégée de son véritable agresseur !

Pour faire pression sur le parquet et le juge d'instruction qui tardent à prendre les mesures nécessaires afin de mettre la main sur son véritable agresseur, signez cette pétition.


Guide pour signer la pétition


Compléter vos coordonnées.

Cocher les options souhaitées.

Valider.

Partager.


Posts les plus consultés de ce blog

Les fausses accusations d’abus sexuel

Dossier réalisé par le Groupe d'Étude sur le Sexisme Mars 2011 Le présent dossier traite des fausses accusations d’abus sexuel : il ne met aucunement en cause l’existence d’abus réels, et la nécessité d’en confondre les auteurs. Les fausses accusations ne peuvent d’ailleurs trouver une crédibilité et prospérer que dans la mesure où existent ces abus réels : en 1996, c’est l’affaire du pédophile belge Dutroux qui a déclenché une vague de fausses accusations dans les pays d’Europe occidentale. Tous les mis en cause dont les noms sont cités ont été blanchis par la Justice ou par leurs accusatrices. 1. Les fausses accusations sont vieilles comme le monde De tous temps, des individus malveillants en ont faussement accusé d’autres de méfaits divers, pour régler leurs comptes sans risque : ce genre d’acte est individuel et indépendant du contexte social. Mais l’histoire connaît aussi, ponctuellement, des phénomènes de fausses accusations de masse. Elles atteignent ce niv

BFM TV : Accusé à tort de viol, un enseignant dénonce l'inertie de la justice: "Le prof, c'est le parfait bouc émissaire"

Diffusé le 12/01/2018 Source : BFM TV RMC a retrouvé Eric, enseignant accusé à tort de viol sur une fillette et innocenté il y a 2 mois. Il dénonce aujourd'hui l'inertie de la justice, alors que les soupçons pèsent maintenant sur le père de la fillette, qui vit sous le même toit et n'est toujours pas inquiété. Il avait été accusé à tort d’avoir violé une fillette de 4 ans en novembre 2016 et mis hors de cause il y a deux mois... c'est une histoire dont vous avait parlé RMC . Aujourd'hui, cet instituteur de Genlis (Côte-d'Or) dénonce l'inertie de la justice dans ce dossier. Selon lui, il est incompréhensible que l'enfant soit laissée sans protection alors que le principal suspect dans cette affaire est désormais… son père. Il s'insurge du fait qu'une personne sur laquelle pèsent des "présomptions scientifiques et factuelles" vive sous le même toit que la victime , et ne soit toujours pas visé par une information judiciaire.

Affaire Peclet : une alerte pour protéger la fillette

Publié le 28/09/2019 Source : Le Bien Public « Cela fait plus de deux ans que j’aurais dû bénéficier d’un non-lieu » Deux rapports d’experts communiqués par le juge d’instruction un an après qu’ils ont été rendus, un avis de la chambre de l’instruction recommandant une morpho-analyse (1 ) des taches non suivi, un collectif qui interpelle les pouvoirs publics… Dans l’affaire du viol d’une fillette à Genlis, rien n’est simple et ne semble bouger depuis plusieurs mois. Le cas du viol d’une fillette à Genlis est toujours nommé, de manière informelle, “l’affaire Peclet”, du nom de l’instituteur désigné dans un premier temps comme l’agresseur présumé par l’enfant de 4 ans au moment des faits. Malgré un test ADN pointant du doigt la lignée paternelle de la victime, malgré la levée de sa mise en examen, l’instruction semble interminable pour celui qui crie son innocence. Pour le moment, il reste sous le statut ambigu de témoin assist

Côte-d'Or : accusations abandonnées contre un professeur accusé de viol sur une fillette

Publié le 15/11/2017 Source :  France 3 National : 12/13 En Côte-d'Or, un professeur des écoles a été accusé de viol après qu'une fillette de quatre ans avait révélé avoir été victime d'attouchements sexuels. Ce mercredi 15 novembre, la cour d'appel de Dijon vient de lever sa mise en examen. Le sourire de la délivrance. Entouré de son épouse et de son avocat, Éric quitte la cour d'appel de Dijon (Côte-d'Or) sous le simple statut de témoin assisté. Une victoire : toutes les charges retenues contre lui sont tombées. Un an que l'enseignant dénonce une erreur judiciaire, depuis son interpellation pour le viol d'une de ses élèves de l'école maternelle de Genlis, en Côte-d'Or. Le principal suspect reste libre À l'époque, la petite fille de quatre ans identifie son professeur comme son agresseur. Il est mis en examen et incarcéré quatre mois. Mais des éléments vont semer le doute dans la tête des enquêteurs, notamment ces traces de sp

Le résumé des faits

Mis à jour le 08/07/2017 Plainte pour viol Le jeudi 17 novembre 2016, une plainte est déposée contre Éric P. pour viol dans le cadre de ses fonctions d’enseignant dans une école maternelle de Côte d’Or. La victime, la petite Julie*, vient d’avoir 4 ans la veille du dépôt de plainte. Elle présente des traces d’agression sexuelle, et désigne spontanément l’enseignant, selon sa mère. L’agression se serait déroulée le lundi 14 novembre, jour où le père découvre des traces de sang dans la culotte de sa fille lors de la douche du soir. Éric P. est interpellé et placé immédiatement en garde à vue le jeudi 17 novembre. Celle-ci sera prolongée. Éric P. nie en bloc les accusations. Il est placé en détention provisoire à la Maison d’Arrêt de Dijon le samedi 19 novembre. Il en ressortira plus de 4 mois plus tard, le vendredi 24 mars. Un viol à l’école maternelle : est-ce possible ? Impossible. Ce lundi 14 novembre, Éric P. n’est pas seul sur le poste de professeur au sein de la cl