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Articles

Affichage des articles du mars, 2018
"Quand il y a un enfant en danger, il faut prendre toutes les mesures."

-Maître Llorente, avocat d'Éric P.

La justice s'est injustement acharnée pendant un an sur un enseignant injustement accusé du viol d’une élève de Genlis (21) malgré les preuves irréfutables de son innocence :

- Deux sur le même poste, il a été accompagné en permanence d’une collègue le jour des faits supposés.

- Le sperme d'un membre de la famille ayant été retrouvé sur la culotte devrait légitimement induire une nouvelle instruction et permettre le rejet du chef d'accusation.

Comment ne pas émettre des doutes sur le bienfondé de confier l'enquête aux gendarmes de la brigade de proximité alors que la plaignante est une des gendarmes de ce même secteur ?

Pendant que la petite est toujours en danger, le véritable agresseur n'est pas inquiété par la justice.

Nous demandons donc que la justice élargisse ses investigations au vu des éléments recueillis par l'enquête.

Bien que la Cour d’Appel de Dijon ait levée la mise en examen d'Eric, reconnaissant par là son innocence, il a besoin de votre soutien pour que toute la vérité éclate enfin et pour obtenir un non-lieu définitif.

Retrouvez le comité sur les réseaux sociaux :

C'est désormais la police qui est chargée de l'enquête

Publié le 23/03/2018 Source : France Bleu [...] Protection de la fillette  Enfin, Eric Mathais précise que deux mesures ont été prises, notamment à la demande d'associations de protection de l'enfance. "Le juge d'instruction a nommé un administrateur ad hoc, c'est à dire un avocat pour la fillette, qui n'est pas l'avocat de ses parents ou de sa famille. Cette décision est d'ailleurs contestée par la famille qui a décidé de faire appel. Et de mon côté, j'ai demandé à l'Aide sociale à l'enfance de faire une évaluation pour voir si à l'heure actuelle, la petite fille est bien dans sa famille ou s'il y a lieu de prendre des mesures de protection éventuelles."  Lire l'intégralité de l'article sur le site de France Bleu

L’enquête est désormais confiée à la police judiciaire

Diffusé le 23/03/2018 Source : France 3 Bourgogne Franche-Comté Un instituteur avait été accusé du viol d'une fillette à Genlis, en Côte-d'Or, en novembre 2016. L’enseignant a vu sa mise en examen levée. Par ailleurs, l’enquête, jusque-là confiée à la gendarmerie, est désormais du ressort de la police judiciaire. Alors que la procédure semblait au point mort depuis la levée de la mise en examen de l’instituteur le 15 novembre 2017, les choses semblent s’accélérer depuis quelques jours. La justice a accepté la désignation d’un un administrateur ad-hoc , après que l'avocate de l'association "Enfance en danger" a dénoncé l'immobilisme de la justice dans ce dossier au micro de France 3 Bourgogne. Une autre demande des avocats vient d’aboutir : la justice a retiré l'enquête aux gendarmes pour la confier à la police judiciaire de Dijon par crainte d’un conflit d’intérêt. En effet, la mère de la fillette est gendarme à Dijo n et l’avocat

La gendarmerie dessaisie au profil de la police judiciaire

Publié le 23/03/2018 Source : Le Bien Public

Situation totalement bloquée. Appel à rédiger un courrier

Chers soutiens, Si la pression médiatique exercée conjointement par l'avocat d'Eric, Me Llorente, et l'avocate d'Innocence en danger, Me Grimaud, avait permis, au bout de 6 demandes, la nomination d'un administrateur ad hoc pour la fillette, malheureusement, cette mesure ne pourra pas encore entrer en vigueur. En effet, l'avocate des parents de la petite victime fait appel de cette décision, ce qui est logique puisqu'elle défend à la fois les parents et leur enfant violée. Quitte à choisir, autant protéger celui qui vous paye ! Pour information, cette avocate, Me Klepping du Barreau de Dijon (nom donné vendredi sur le site de France 3 https://soutien-instit-genlis.blogspot.fr/2018/03/viol-genlis-apres-cinq-mois-dattente-le.html ) est, paraît-il, très engagée dans la Protection de l'enfance depuis de longues années... mouais ! D'ailleurs, au moins depuis 2011, elle est celle qui obtient le marché conclu avec le conseil départemental de

Viol à Genlis : après cinq mois d'attente, le juge d'instruction nomme un administrateur ad-hoc

Publié le 16/03/2018 Source : France 3 Bourgogne Franche-Comté © Maxime Villirillo Selon nos informations, un administrateur ad-hoc va être nommé dans l'affaire de viol d'une fillette à Genlis. La semaine dernière, l'avocate d'une des parties civiles dénonçait à notre micro l'immobilisme de la justice dans ce dossier. Un administrateur ad-hoc va être nommé dans l'affaire de la fillette violée à Genlis en 2016, selon nos informations confirmées ce vendredi 16 mars par le procureur de la République de Dijon. En 2016, une petite fille avait été violée à Genlis. Dans un premier temps, son instituteur avait été soupçonné, avant que sa mise en examen ne soit levée . En janvier 2018, l’avocat de l’instituteur révélait que l’ADN retrouvé sur la culotte de l’enfant appartenait à "un proche de la famille". Pour le moment, la fillette et ses parents sont défendus par le même avocat. L'ordonnance du juge d'instruction, prise le 13 mars

Enfin un administrateur ad hoc pour la fillette de Genlis

Diffusé le 14/03/2018 Source : RTL Après 6 demandes, le juge a enfin accepté la nomination d'un administrateur ad hoc. Frédéric Perruche livre ses explications sur RTL :

[Pétition à signer et à partager] Ministre de la Justice : Pour que la justice protège enfin la fillette de Genlis, abusée sexuellement !

En novembre 2016, une fillette de 4 ans a été violée. Pendant plusieurs mois, la justice accusait injustement un enseignant du viol de cette élève de Genlis. Sans preuve, il était envoyé en prison. Après 4 mois de prison, pour rien, le sperme d'un proche de l'enfant était retrouvé dans sa culotte ensanglantée. Si l'enseignant était libéré pour être toutefois placé sous contrôle judiciaire à 450 km de sa famille, l'auteur de l'agression n'était, lui, pas inquiété et cela dure toujours ! En effet, cela fait un an que cette preuve scientifique a émergé, mais rien n'a encore été fait pour la protéger de son agresseur qui vit toujours au près d'elle. Plus grave encore, Maître Grimaud, avocate d'Innocence en danger, dénonce dans l'Express du 6 mars 2018 que la fillette serait toujours l'objet de violences sexuelles au sein de sa famille, et les preuves sont là selon l'avocate... Voici un extrait de cet article de

Le courrier choc de l'instituteur

Publié le 08/03/2018 Source : Le Bien Public Voici la version intégrale de la lettre d'Eric Péclet adressée à la Ministre de la Justice : https://drive.google.com/open?id=1n8Yy-zU-TFvOMfPLzAi7oZOCy4W4azt7 Photos jointes à l'article en version numérique :

Viol à Genlis : la justice doit "arrêter le silence", dit Marie Grimaud sur RTL

Publié le 08/03/2018 Source : RTL INVITÉE RTL - Après l'ajout de nouveaux documents au dossier concernant le viol d'une fillette de 4 ans à Genlis (Côte d'Or) en 2016, Marie Grimaud, avocate de l'association Innocence en danger, exige que la justice examine à nouveau l'affaire. Elle dénonce un déni de justice. Marie Grimaud, avocate de l'association "Innocence en danger", s'inquiète du silence du juge d'instruction dans l'affaire du viol d'une petite fille à Genlis (Côte d'Or). En novembre 2016, l'instituteur de l'enfant, soupçonné d'avoir agressé sexuellement son élève, avait été mis en examen à tort . Depuis, les preuves se sont accumulées contre un des proches de la victime . Mais la piste familiale reste inexplorée par la justice. "Aujourd’hui, nous avons une petite fille qui est maintenue dans un environnement intra-familial" de "maltraitance physique et sexuel", explique Marie Grima

Intervention d'Eric en direct sur C8 dans l'émission Wlilliam à midi

Diffusé le 08/03/2018 Source : C8

Pédophilie : l'instituteur accusé à tort, le père mis en cause ?

Diffusé le 07/03/2018 Source : M6 19.45 La colère d'un instituteur. Condamné à tort pour le viol d'une fillette de quatre ans en novembre 2016, Eric Peclet a fait quatre mois de prison pour rien. Le vrai coupable court toujours, l'instituteur dénonce l'ineptie du système judiciaire...

Affaire de viol à Genlis : l'instituteur mis en cause dénonce l'inefficacité de la justice

Publié le 07/03/2018 Source : France Bleu Eric Peclet, l'instituteur de Genlis accusé en novembre 2016 du viol d'une fillette de quatre ans avant d'être blanchi quatre mois plus tard par des résultats ADN, dénonce les lenteurs de l'enquête toujours en cours. Il a envoyé une lettre à la ministre de la Justice et au défenseur des droits. En mars 2017, après quatre mois de prison, Eric Peclet était finalement mis hors de cause dans le viol d'une fillette de quatre ans de sa classe. L'ADN du sperme retrouvé sur la culotte ensanglantée de la petite fille, n'est pas le sien mais il serait celui d'un des membres de la famille de l'enfant. Depuis, il est toujours placé sous le statut de témoin assisté. A ce jour aucun membre de la famille de la petite n'a été mis en examen. Une situation insupportable pour l’instituteur de Genlis qui a décidé d'envoyer une lettre à la Garde des Sceaux, Nicole Belloubet, et au Défenseur des Droits, Jacques Toubo

Viol à Genlis: l'avocate de la partie civile dénonce l'inertie de la justice

Publié le 07/03/2018 Source : France 3 Bourgogne Franche-Comté L’avocate Me Grimaud, partie civile pour l’association Innocence en danger a déposé une demande d’actes complémentaires auprès de la juridiction de Dijon dans l’affaire du viol d’une enfant de 4 ans à Genlis. Elle alerte sur l’immobilisme de la justice alors que de forts soupçons pèsent sur le père de la victime. Lire la suite de l'article sur france3-regions.francetvinfo.fr

Un instituteur accusé à tort de viol sur une fillette: "Un mot m'a envoyé en prison"

Publié le 07/03/2018 Source : Bourdin Direct, RMC Il a passé 4 mois en prison pour rien, après avoir été accusé à tort du viol d'une fillette. L'instituteur Eric Peclet est venu ce mercredi dans Bourdin Direct dénoncer l'inertie de la justice, alors que l'auteur présumé du viol, confondu par son ADN, n'est toujours pas inquiété. Nous vous avions parlé sur RMC de cet instituteur , qui a passé 4 mois de prison pour rien après avoir été condamné à tort pour viol sur une fillette de 4 ans en novembre 2016. Eric Peclet dénonce aujourd'hui l'inertie de la justice , alors que le violeur présumé, un proche de la fillette, confondu par l'ADN retrouvée sur la petite culotte de l'enfant, n'est toujours pas inquiété. Il a écrit à la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, et au défenseur des droits des enfants pour les alerter sur une "situation d'urgence". Il s'inquiète aujourd'hui pour cette petite fille victime d'

Viol d'une enfant à Genlis : une avocate dénonce "l'incompréhensible" inertie de la justice

Publié le 06/03/2017 Source : L'express Plus d'un an après le viol d'une petite fille en Côte-d'Or, la piste familiale reste inexplorée. Me Marie Grimaud, partie civile, réclame d'urgence d'autres investigations. Une petite fille violée, des éléments qui ouvrent sur une piste intra-familiale et une instruction qui reste pourtant toujours au point mort depuis des mois, selon une avocate de la partie civile... Comment expliquer l'immobilisme de la justice dans l'affaire de Genlis (Côte-d'Or), un viol sur une enfant d'à peine 4 ans , pour lequel un instituteur avait été mis en examen, avant de passer au statut de témoin assisté et dont L'Express a raconté l'histoire en détail ? Faute d'avoir la réponse, maître Marie Grimaud, partie civile pour l'association Innocence en danger , vient de déposer une demande d'actes complémentaires auprès de la juridiction de Dijon, dans l'espoir de relancer l'enquête. Et d

Assemblée Générale et Point-Presse du mercredi 7 mars

Le mercredi 7 mars 2018, à 18h30, un point-presse est organisé, à l'initiative de l'avocat d'Éric P., par son comité de soutien. En effet, il devient impératif pour Éric et son avocat de secouer avec force le juge d'instruction en charge de cette affaire dans laquelle la fillette est toujours auprès de son agresseur. A cet effet, nous souhaitons mobiliser les médias sur cet incroyable dysfonctionnement de la Justice et frapper les esprits. À l'image du rassemblement organisé le 12 octobre dernier devant la cour d'appel, nous invitons tous ceux qui le peuvent à être présents à 18h30 pour afficher cet exceptionnel soutien dont bénéficie Éric. Lieu : place de l'Église 21220 Morey-Saint-Denis De plus, à 17h30, les adhérents du comité sont invités pour l'Assemblée Générale annuelle de l'association. Pour nous informer de votre participation, merci de renseigner ce lien :  https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSe0KsQRaEDSKq0QQTO6ODR43YGBHBM