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"Quand il y a un enfant en danger, il faut prendre toutes les mesures."

-Maître Llorente, avocat d'Éric P.

La justice s'est injustement acharnée pendant un an sur un enseignant injustement accusé du viol d’une élève de Genlis (21) malgré les preuves irréfutables de son innocence :

- Deux sur le même poste, il a été accompagné en permanence d’une collègue le jour des faits supposés.

- Le sperme d'un membre de la famille ayant été retrouvé sur la culotte devrait légitimement induire une nouvelle instruction et permettre le rejet du chef d'accusation.

Comment ne pas émettre des doutes sur le bienfondé de confier l'enquête aux gendarmes de la brigade de proximité alors que la plaignante est une des gendarmes de ce même secteur ?

Pendant que la petite est toujours en danger, le véritable agresseur n'est pas inquiété par la justice.

Nous demandons donc que la justice élargisse ses investigations au vu des éléments recueillis par l'enquête.

Bien que la Cour d’Appel de Dijon ait levée la mise en examen d'Eric, reconnaissant par là son innocence, il a besoin de votre soutien pour que toute la vérité éclate enfin et pour obtenir un non-lieu définitif.

Retrouvez le comité sur les réseaux sociaux :

Côte-d'Or : un instituteur accusé de viol en passe d'être innocenté

Reportage du 13/10/2017
Source : RTL

Le père de famille de 43 ans a toujours clamé son innocence depuis novembre 2016. Les derniers éléments de l'enquête semblent aller dans le sens de son innocence.


Un instituteur, mis en examen depuis novembre 2016 pour le viol d'une fillette de 4 ans dans une école de Genlis (Côte-d'Or), dénonce une "erreur judiciaire". Devant la cour d'appel de Dijon, Eric P. a plaidé sa cause. L'enseignant a réclamé la levée de sa mise en examen jeudi 12 octobre.

Les derniers développements de l'enquête sont tels que la justice semble désormais donner raison aux dénégations de ce père de famille de 43 ans. Parmi les éléments à décharge : la culotte de la fillette a été expertisée, pas de trace d'ADN de l'instituteur. Mais une tache de sperme d'un membre de la famille de la victime. L'accusé, Éric P. témoigne au micro de RTL, "l'analyse révèle que le sperme n'est pas le mien et l'auteur est facilement identifié. Il s'agit de quelqu'un de la famille, qui est toujours auprès de la victime". La personne en question n'a pour l'instant pas été entendue par les gendarmes, mais pourrait être placée en garde à vue dans les semaines qui viennent. "Cette personne est celle qui a également porté plainte contre moi", confie Éric P.

Autre élément pointé par l'instituteur : un possible confit d'intérêt. La mère de la fillette est gendarme, et ce sont ses collègues qui ont enquêté sur l'affaire. L'homme de 43 ans, marié et père de famille, avait été écroué "pour les nécessités des investigations à poursuivre", Il avait été remis en liberté sous contrôle judiciaire fin mars.


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