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"Quand il y a un enfant en danger, il faut prendre toutes les mesures."

-Maître Llorente, avocat d'Éric P.

La justice s'est injustement acharnée pendant un an sur un enseignant injustement accusé du viol d’une élève de Genlis (21) malgré les preuves irréfutables de son innocence :

- Deux sur le même poste, il a été accompagné en permanence d’une collègue le jour des faits supposés.

- Le sperme d'un membre de la famille ayant été retrouvé sur la culotte devrait légitimement induire une nouvelle instruction et permettre le rejet du chef d'accusation.

Comment ne pas émettre des doutes sur le bienfondé de confier l'enquête aux gendarmes de la brigade de proximité alors que la plaignante est une des gendarmes de ce même secteur ?

Pendant que la petite est toujours en danger, le véritable agresseur n'est pas inquiété par la justice.

Nous demandons donc que la justice élargisse ses investigations au vu des éléments recueillis par l'enquête.

Bien que la Cour d’Appel de Dijon ait levée la mise en examen d'Eric, reconnaissant par là son innocence, il a besoin de votre soutien pour que toute la vérité éclate enfin et pour obtenir un non-lieu définitif.

Retrouvez le comité sur les réseaux sociaux :

Message du Comité de soutien


Bonjour chers soutiens,

Ce samedi, le Bien Public faisait l'écho du rapport médical d'expertise livré dernièrement. Nous vous invitons à le lire sur notre blog : http://soutien-instit-genlis.blogspot.com/2018/10/le-rapport-qui-innocente-linstituteur.html

Depuis qu'Éric Peclet n'est plus mis en examen, et placé sous le statut de témoin assisté, lui et son avocat ne peuvent plus faire de demande d'acte au juge d'instruction en charge de cette affaire. Ainsi, c'est Éric qui a dût financer de sa poche le coût des 2000€ de cette expertise indépendante. Heureusement qu'il a pu trouver jusqu'à présent les ressources financières pour organiser sa défense, car vous imaginez bien que cette nouvelle facture n'est pas la première. Il ne vaut mieux pas être un justiciable pauvre et seul lorsque la Justice vous écrase de toute sa lourdeur procédurale !

Ce nouveau rapport démontre, une fois encore, que le sperme présent sur la culotte ensanglantée n'y a pas été déposé a posteriori, par simple transfert dans le linge sale comme l'affirment les parents pour se défendre, mais qu'il s'agit bien du fruit d'un ignoble viol extrêmement brutal.

Malgré cela, la Justice assume le fait que rien ne soit opéré contre le véritable agresseur :
« Ce proche de la famille a-t-il déjà été entendu par la police judiciaire ? demande la journaliste.
- Non. Pour l’instant, il n’y a pas de nouvelles auditions, interpellations ou gardes à vue qui sont intervenues »
répond le Procureur de la République. 


Toujours aussi stupéfiants, les services sociaux évaluent (sous quelle pression ?) que la fillette ne serait pas en danger à la maison… :
Le Procureur Éric Mathais déclare : « La chambre de l’instruction a confirmé la désignation de l’administrateur ad hoc. La petite fille a donc un avocat qui peut être différent de celui de ses parents. Par ailleurs, j’avais saisi l’Aide sociale à l’enfance d’une demande d’investigation pour vérifier s’il y avait un danger nécessitant éventuellement un placement de l’enfant. Or, les éléments que j’ai reçus ne vont pas du tout dans ce sens. »

On peut facilement démolir cette évaluation avec les propos de Maître Grimaud, formulés en mars dernier, dans lesquels elle révélait que, 7 mois après l'agression du 14 novembre 2016, la petite « a encore des lésions au niveau de l’appareil génital, qu’elle a des hématomes sur le corps, des excoriations, des blessures au niveau du visage. » Donc, on a les preuves que cette enfant est encore maltraitée et violée par l'un de ses parents.

Notre comité de soutien a été fondé pour soutenir Éric dans son combat. Pour qu'il sorte blanchi, et que tout son malheur n'ait pas été vain, il faut que le calvaire de cette petite fille s'arrête et le coupable jugé et condamné. Cela devient insupportable de savoir que 2 ans après le (premier) viol révélé à la Justice, la petite vit toujours le même calvaire. Doit-on attendre un évènement plus dramatique encore ? 

Que la Justice réagisse !

Cela fait 2 ans qu'Éric agit en se sens, épaulé par son avocat et son comité de soutien.Cela fait 1 an que les associations de protection de l'enfance alertent le Ministère de la Justice.

Mais, la Justice ne fait rien, rien du tout ! Quelle honte !

Lorsque le Procureur explique qu' « Il y a eu une expertise qui a été lancée, toujours sur des questions d’ADN. Par respect du secret de l’instruction, et comme l’expertise est toujours en cours, je ne peux pas trop rentrer dans les détails. » il faut savoir, en réalité, qu'on en est encore à traiter la demande des parents de mars 2018 pour compter le nombre de spermatozoïdes dans l'éjaculat qui a inondé le pubis de l'enfant.

Quel est le sens de cette demande ? Est-elle pertinente et, surtout, comment un juge peut-il s'en satisfaire depuis 8 mois maintenant ?

Le comité de soutien étudie une action, sous la forme d'une manifestation, pour que la Justice fasse son travail et protège la principale victime de cette affaire, toujours sous le joug de son agresseur sexuel.

Nous vous tiendrons au courant si ce projet venait à être adopté pour l'organiser collectivement en amont, diffuser l'information au maximum de concitoyens et d'éventuelles associations et organisations partenaire, et nous rassembler en grand nombre.

Pour la Vérité !

Pour cette fillette !

Pour Éric !



 
soutien.institgenlis@yahoo.comwww.soutien-instit-genlis.blogspot.fr


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